vendredi 15 juillet 2016

Attentat de Nice... Ou quand les bouchers portent une cocarde...


Et quoi maintenant ?
On fait comme d'habitude ?  On se bourre d'anti-anxiolitiques à s'en coller des ulcères à chaque sortie au ciné, au resto ou au stade, et on attend que ça nous pète dans la gueule, gentiment, sans faire de bruit ? 
Car c'est grosso modo tout ce que cet inénarrable Manuel Valls et sa palanquée de crétins nous proposent comme palliatif à la barbarie islamiste qui ponctue désormais notre agenda: Apprendre à vivre avec le terrorisme, et compter sur je ne sais quelle bonne étoile pour ne pas retrouver sa famille couchée sur une liste de cadavres en morceaux.
Qui peut décemment entendre ça aujourd'hui sans hurler de rage ?

Dans ce blog comme dans beaucoup d'autres (ici, , ou encore ), le ton a toujours été impertinent et provocateur dans un esprit réactionnaire assumé, mais systématiquement tourné vers un minimum de respect à l'endroit de ceux qui y sont parfois épinglés, voire ouvertement condamnés.
Aujourd'hui, la retenue, la correction, la mesure et la pondération, tout ça va rester dans ma culotte. Toute cette réserve que je m'imposais peu ou prou, et que je voyais comme un principe élémentaire du débat démocratique et citoyen, va passer à la trappe.
Mon respect, tous ces énarques de l'inaptocratie, toutes ces prix Nobel de l’incompétence et de l'indignité, tous ces usurpateurs de promesses, ils vont se le tailler en pointe et se le coller dans le fondement  jusqu'à l'étirement tissulaire critique.
Et tant pis si la diffamation, l'outrage ou la calomnie me pendent au nez...

Qui m'empêchera de traiter Valls, Cazeneuve ou Hollande d'enfants de salauds ?
Personne. Et surtout pas eux..
Eux, qui depuis janvier 2015 nous ont fait payer, à nous, la facture de leurs inconsciences sécuritaires criminelles, se lavant les mains du sang de tous ces innocents sacrifiés sous le robinet de leur bonne conscience.
Eux, et tant de leurs prédécesseurs qui ont, durant des décennies, léché des croupions mahométans docilement inclinés devant les urnes, rabattant soigneusement les pans de leurs djellabas pour ne pas voir l'infecte pourriture qu'ils laissaient dans le même temps s'installer dans le pays.
Ces guignols s'en défendront tant qu'il voudront, mais les 84 morts de ce dernier carnage, ils en sont les uniques responsables, faisant d'eux de facto des coupables. Ils sont les seuls comptables de toutes ces vies anéanties et de toutes les autres avant elles depuis janvier. 
Ce musulman taré et son camion fou ne sont que les instruments d'un mal qu'eux seuls ont méthodiquement fait mûrir et se développer, conscients du péril imminent dans lequel ils nous jetaient sans la moindre autre considération que celle de soigner leur rang sur l'échiquier politique.
Alors oui, messieurs Hollande, Valls et tous les autres, vous avez tué ces gens
De vos mains sales...
Vos propres compatriotes et leurs enfants. Vous les avez abandonnés, que dis-je, vendus à des barbares que vous avez élevés au biberon sur notre territoire au nom d'une idéologie insensée, pensée par des demeurés qui s'imaginaient pouvoir faire cohabiter sous le même toit des musulmans dégénérés jusqu'à l'os et des êtres humains normalement constitués.
Vous les regardez tomber les uns après les autres, comme des dominos, les bras ballants, totalement impuissants à ne serait-ce que ralentir cette hécatombe inconcevable, comme de vulgaires morveux hébétés devant l'étendue de leurs méfaits.

Encore une fois, il va nous rester la honte et le désespoir. 
La honte d'appartenir à un pays qui, sous état d'urgence absolue, est incapable d’empêcher un blaireau dégénéré de catapulter son camion de 10 tones sur une foule de 30 000 personnes censée être sous la plus étroite des surveillances, et de commettre à lui tout seul une telle boucherie...
Le désespoir de voir qu'aucune leçon n'a été tirée des drames précédents, et qu'a nouveau on viendra nous bassiner avec ce que ces socialistes inconscients ont érigé en concept, et qui sera la seule réponse que l'Etat français apportera aux jubilations masturbatoires des porcs de l'islam au lendemain de ce 14 juillet sanglant : la sacro-sainte unité nationale...

Alors ce pays, et ses dirigeants en tête, vont faire la seule chose qu'il savent faire : Pleurnicher.
Nous allons ressortir du placard les marches silencieuses. Une dans chaque grande ville de France et de Navarre.

On y collera à leur tête un panel représentatif des habituels branleurs du monde politique et du showbiz, et tout ce beau monde battra du pavé bras dessus bras dessous au pas cadencé et la tronche en décomposition...
Les artistes improvisé du street-art post-attentats nous inventeront tout un catalogue de "je suis truc", "je suis machin" ou "je suis mes couilles" qu'ils dégueuleront sur tous les réseaux sociaux et dans tous les journaux, ultimes niaiseries condescendantes et inutiles auxquelles nous nous sommes tous adonnés comme des cons désorientés après les précédents carnages...
On nous demandera  une compilation de minutes de silence nationales d'une mièvrerie achevée qui feront la une des 20 heures. Partout. Dans les stades, dans les rues, dans les boites, dans les hémicycles...
Pour faire propre, on y expurgera évidemment toutes celles qu'aura refusé de respecter notre jeunesse arabo-musulmane, forcément solidaire avec "le martyr au camion", nouveau héros des minorités oppressées par la pourriture mécréante judéo-chrétienne. Et quand bien même il s'en glisserait une a travers les mailles médiatiques, on chargera quelques "Cambadelis" dégoulinants de "padamalgam", de venir nous expliquer qu'il s'agit d'un cas isolé parfaitement anecdotique.

Cette ineffable sous merde de Bernard Cazeneuve viendra nous chier son éternelle litanie post traumatique sur tous les micros qui voudront bien se tendre, et nous dira combien toute son énergie est au service de la sécurité des citoyens. Il nous refera le coup d'une incertitude sur les motivations terroristes de l'acte, et nous invitera à la prudence tant que Daech n'aura pas revendiqué. Et comme d'habitude les lamentations de ce connard ne déclencheront rien d'autre que l'exaspération d'un peuple qui a bien compris depuis longtemps que sa sécurité est entre les mains d'un nabot anesthésié en dessous de tout et responsable de rien.
Quant à l'autre toréador hystérique, très fort pour bomber le torse devant un flic dissident qui refuse sa main tendue, on attend toujours qu'il aille toiser du menton avec la même arrogance les bouchers islamistes qui utilisent sa coupe en brosse comme un paillasson à poils durs. Bien entendu, nous n'y compterons pas trop, connaissant les fanfaronnades inoffensives de ce Tartarin ridicule, qui n'a d'impétuosité et d'emportement que devant les micros et les caméras complaisants de BFM TV.
Pour le reste, c'est à dire sa fonction, nous repasserons. Faudra s'habituer au risque de se faire trouer le cul, de partir en confettis, ou de finir haché menu sur un trottoir. Voila ce que ce sinistre con préconise comme attitude à tenir devant l'état islamique qui à fait de la France un vaste parc d'attraction pour djihadistes. Lui dont la mujer y los niños ne risqueront jamais de finir mutilés sous les coups d'un de ces bâtards, protégés qu'ils sont par un contingent de gardes du corps jusque dans leurs chiottes. 
Pour les séances de pleurnicherie officielles, nationales et internationales, la limace lymphatique qui nous fait office de chef d'Etat s'en chargera avec brio. Ayant définitivement opté pour le masque post-attentat comme look quotidien, n'attendons pas de ce pitre une quelconque autre réaction que cet attentisme mielleux. François Hollande baignera les jours à venir dans le seul jus qui lui convient, et il y trempera jusqu'à ce qu'il fige. L'affaire est entendue, ce président restera dans l'histoire comme un pantin de commémoration, pas assez courageux ne serait-ce que pour appeler l'ennemi par son nom, et parfaitement inopérant dans l'ensemble de ses attributions, y compris dans la première de celles-ci: la sécurité de ses concitoyens.
Nous laisserons donc notre chef de ce qu'il reste de l'Etat à ses dégoulinades pathétiques, et leur donnerons l'importance qu'elles méritent.  

Et puis tout roulera comme d'habitude.
L'enquête aboutira encore et encore à la constatation que cette merde coranique était connu des services compétents, mais ne donnait aucun signe de radicalité avérée. Que ses voisins le décrivaient comme un mec bien, quoi qu'un peu ténébreux. Qu'il buvait, fumait, niquait comme n'importe quel pékin, et que donc il convenait de lui accorder la mansuétude et l'absolution de nos juges miséricordieux malgré son dossier judiciaire.
Les fameuses jurisprudences "Merah, Kouachi, Coulibali"...
On ergotera un temps sur les différents rapports de police faisant état d'une région niçoise connue depuis longtemps pour être une base arrière de l'islam radical, jusqu'à ce qu'un élu ne s'offusque qu'on stigmatise une région déjà fortement éprouvée, et que quelques bien pensants ne dénoncent les salopards populistes qui se livrent à de nauséabonds amalgames. 

La suite nous la connaissons:
La France s'endormira sur cette tragédie comme elle s'est endormie sur les précédentes, et nos élites se féliciteront discrètement d'avoir fait le dos rond pendant la tempête.
Les mosquées salafistes resteront ouvertes. Leurs imams pourris continueront d'y instruire leurs futurs soldats du djihad, sous les yeux bienveillants des dignitaires officiels de l'islam de France dont l'immobilisme ressemble à s'y méprendre à de la complicité. Les prisons resteront plus que jamais des nids du terrorisme. Des villes entières continueront de s'islamiser aux quatre coins du pays, laissant s'installer une charia de quartier qui ne dit pas son nom mais qui ne se cache même plus.
La jeunesse Maghrebo-musulmane s’identifiera de plus en plus à ces guerriers de l'islam qu'elle érigera en héros de leur cause sous les silences consentants de leurs parents...
Etc, etc...
Toujours pas de "Guantanamo" pour y parquer cette pourriture et la traiter correctement.
Toujours pas d'expulsion sans condition pour ces fils de putes à nationalité multiple.
Toujours pas d'isolement automatique au moindre soupçon d'embrigadement.
Bref, toujours pas de politique sécuritaire, de mesures drastiques ni même de la plus élémentaire fermeté pour un pays pourtant en guerre, agressé sur son propre, et souillé jusque dans ses tripes par un mal venu de l'intérieur.
A force de compromis, de synthèse, de frilosité, de lâcheté, nous avons laissé nos adversaires nous emmener dans le cul de sac ou ils voulaient nous voir agoniser. Nous sommes désormais devant un choix binaire. Les musulmans de ce pays devront s'y soumettre tôt ou tard. On est avec la France, ou on est contre, point. Comme le dit très justement Paul Fortune, il n'y a que deux cotés à une barricade...

Faudra t-il qu'un jour le degré d'horreur atteigne des niveaux tels que des solutions moins avouables germent dans certains esprits ?. En arriverons-nous un jour à ce que, comme en Turquie, quelques généraux en soient contraints à mettre le cap de leurs blindés sur les palais dorés de la République, et de les en débarrasser de toute cette caste d'encostrardés tout juste bons à se chier dans les pantoufles devant la première fatwa ?.
Qui peut le dire vraiment ?..
En attendant cette aube qui se dessine doucement, ce matin il ne reste rien d'autre que des familles ravagées par l'inhumanité absolue, anéanties, dissoutes... Rien d'autre que l'attente insupportable de la prochaine boucherie programmée par cet islam de porcherie que nous aurons couvé pendant des décennies sans jamais avoir eu le courage de le dénoncer.
Rien d'autre que l’innommable obligation de compter et recompter nos morts à venir...
Et cette irrépressible colère contre ceux que nous engraissons pour nous protéger, et qui nous jettent en pâture à l'ennemi...

Eric.





(A lire sur le même sujet le toujours excellent Nouratin)

8 commentaires :

  1. Bon, c'est bien. Vous vous êtes lâché.

    Et en plus vous désignez des coupables. Remarquez qu'on aurait pu en choisir d'autres et que vous manquez d'originalité sur ce point (perso, j'ai plutôt tendance à penser que les coupables d'actes de terrorisme sont les terroristes, mais c'est peut être trop rationnel comme approche). J'ignore au juste combien de gens pensent que le gouvernement est coupable de terrorisme, comme vous, mais s'il fallait vous rassurer là-dessus, vous n'êtes clairement pas le seul à le penser.

    Si la question vous intéresse, sachez qu'en réalité ce sont les équipes chargées de concevoir le dispositif de sécurité qui se sont plantées: elles n'ont pas intégré le risque du camion dans leur schéma. Tout bête, mais fatal.

    Le ministre est-il responsable de leur incurie? Oui et non. Oui, parce qu'en tant qu'autorité de tutelle il doit vérifier que les gens qui sont en charge sont compétents. Non, parce qu'il n'est pas chargé de vérifier lui-même chaque dispositif de sécurité.

    M'enfin bon, le fait est que les gens chargé de concevoir le dispositif de sécurité n'ont pas vu le truc et qu'un type pas très futé a pu faire 84 morts en employant un moyen assez primitif qu'on aurait normalement dû prévoir.

    Maintenant on a deux options: réclamer que les têtes tombent en ajoutant la désorganisation au désarroi ou bien se mettre à étudier sérieusement les modes opératoires des terroristes, ce qui suppose de réfléchir avec son cerveau et pas avec ses tripes.

    Maintenant que vos tripes ont parlé, votre cerveau est-il disponible?

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  2. Mon cerveau était déjà disponible. Mais il y a des moments où il faut laisser s'exprimer ses tripes. D'ailleurs, je l'annonce en préambule de mon texte.
    Mon cerveau pourtant m'enjoint à penser que dans n'importe quelle structure, qu'elle soit politique, commerciale, industrielles ou tout ce que vous voudrez, l'inaptitude et l'incompétence sont immédiatement sanctionnées, et les têtes responsables tombent dans le panier.
    Dans le cas qui nous intéresse, ça n'est même pas envisageable. Quand on mobilise 60 flics en plein état d'urgence pour un événement qui va générer une foule de 30 000 personnes, et que de surcroît on dispose d'un réseau de caméras capable de détecter un pet de moustique en temps réel, et qu'un crétin lobotomisé peut promener son 15 tomes pendant 3 jours dans la zone sans éveiller le moindre soupçon, il y a matière à s'interroger...
    Alors oui, Bernard Cazeneuve ne peut pas être derrière chaque crevure islamiste, mais il fait partie d'un gouvernement dont l'autorité judiciaire laisse s'épanouir librement tout ce qui constitue le terreau de ce terrorisme larvé. Son gouvernement, et ceux qui l'ont précédé. L'exécution barbare de ce prêtre en est la terrifiante démonstration, comme ce fut le cas pour les frères Kouachi et toutes les autres mer des sur pattes qui gravitaient autour d'eux.
    Alors oui, ces élus ont du sang sur les mains. Même si ils ne sont pas ceux qui passent à l'acte.
    Ce fatalisme de circonstance qui laisserait entendre que le terrorisme est inéluctable et qu'il faut s'habituer à faire avec, n'est rien d'autre que l'aveu d'une impuissance dictée par des années de laxisme et d'inepties idéologiques d'une stupidité achevée.
    Certes, le risque zéro est une illusion. Mais quand on décompte plus de 200 morts en 18 mois, dont au moins les 2 tiers auraient pu être évités simplement en neutralisant ceux que la justice a choisi par complaisance de laisser fomenter tranquillement leurs carnages, parler de risque zéro est une insulte au bon sens.
    Voilà ce que régurgite mon cerveau, quitte à passer pour primaire et démago...

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  3. L'inaptitude et l'incompétence immédiatement sanctionnées dans n'importe quelle structure?

    Si vous commencez à virer les incompétents, il ne vous restera plus grand monde... Et puis, est-ce seulement possible? Là, c'est une équipe de fonctionnaires de police, d'agents communaux et de fonctionnaires de l'administration préfectorale qui a merdé dans la conception du dispositif de sécurité. Le gouvernement ne peut pas prendre de sanction contre les responsables de cette équipe sans donner l'impression de se défausser sur des lampistes, pourtant c'est bien à leur niveau que s'est fabriquée la catastrophe. Alors, on va continuer avec ces types, vaille que vaille, en espérant qu'après 84 morts le risque camion sera intégré dans la liste des menaces, puisque, apparemment, quelqu'un a oublié de cocher la case.

    Ensuite, si vous voulez, vous pouvez toujours nous faire un couplet sur la justice laxiste: les juges sont les boucs émissaires désignés de notre société. Ils sont faits pour ça, alors n'hésitez pas. La justice est un service public, ce qui comprend le droit de la stigmatiser, ce qui est par ailleurs parfaitement primaire et démago, mais on s'en fout.

    Une fois que votre système nerveux se sera bien déchargé, il lui reviendra d'analyser le type de guerre qu'on doit mener, sans trop se gourer.

    J'vais vous faire un inventaire, comme ça on gagnera du temps; Il y a trois modèles de guerre qui flottent dans l'air du temps:
    - La guerre de civilisation (en gros l'islam contre l'Occident chrétien)
    - L'invasion musulmane (Cf le blog de Paul Fortune, il est dans ce modèle idéologique)
    - La guerre de religion (je précise: interne au monde musulman): c'est le truc qui nous pète à la gueule, sans qu'on soit vraiment concernés. On est des cibles collatérales.

    Si vous faites du modèle 1: en gros vous cassez de l'Arabe avec des drones, frappes aériennes, forces spéciales, etc, loin de chez vous, à l'américaine. Et il y a une riposte terroriste près de chez vous. C'est une guerre d'élite: "leur guerre, nos morts" comme on dit au Front Nat.
    Si vous faites du modèle 2, à la façon Paul Fortune, en gros vous allez faire du nettoyage ethnique. Ca, c'est binaire: on aime ou on aime pas. Paul, lui, il aime.
    Si vous faites du modèles 3, c'est plus compliqué et c'est un truc d'intellos. Stratégie indirecte, tout le bordel.

    C'est à peu près les trois options que vous avez.

    Pour l'instant, d'après ce que j'ai cru comprendre, vous êtes plutôt branché par le modèle 2. Bon, pas brillant. Son gros inconvénient ( à part l'inconvénient moral): c'est exactement ce que l'ennemi attend de nous.

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    1. Le modèle 1, le modèle 2, le 3... Croyez-vous vraiment que les gens de ce pays en sont à ce type de considérations géopolitiques ?
      Nous parlons d'une sécurité nationale réduite à portion congrue par un mal qui se développe chez nous, intramuros. Nous parlons de tueurs que nous croisons sur les trottoirs de nos rues, et qui y ont grandi.
      Ils se trouve que ces mecs sont, dans leur immense majorité, soit connus des services, soit récidivistes. Ces derniers ont été condamnés à des peines dont le moins que l'on puisse en dire est qu'elles sont d'une consternante indulgence, pour ne pas dire complaisance.
      Le type de guerre à mener, il faut le chercher du coté terrain. A commencer par une razzia des mosquées salafistes identifiées depuis des lustres, et que personne n'ose toucher pour des conneries idéologiques ou électoralistes qui n'ont de place dans aucune démocratie respectable.
      Les mêmes conneries qui ont permis l'islamisation anarchique et exponentielle de quartiers entiers ou se sont épanouies en toute tranquillité ces raclures. Nos voisins belges, aussi cons que nous sur ce point, sont la vitrine de ces aberrations sociétales.
      Quant aux juges irresponsables à qui vous semblez accorder vos considérations, tant qu'ils n'auront pas à répondre de leurs incuries, nous seront soumis à la barbarie de ceux qu"ils arrosent de leur miséricorde irresponsable. Je passerai sur l'argumentaire "stigmatisation du service public", tant il est éculé et récupéré jusqu'à l'ivraie par ceux qui en font partie, dès lors qu'il est fait la démonstration de leurs incompétences.
      Il faut regarder les choses en face. La juge qui a relâché dans la nature Adel Kermiche et son bracelet électronique, contre l'avis du parquet antiterroriste, et une connasse aboutie. Et tant que les juges se jugeront entre-eux pour répondre de leurs erreurs, ce genre de bavure judiciaire se répétera à l'infini, avec au bout de la chaîne des cadavres partout.
      Alors moi, je veux bien parler de guerre de civilisation, de religion ou de je ne sais quelle théorie de l'invasion. Mais je ne ferai que rajouter des mots sur d'autres pour alimenter des discussions auxquelles il est devenu impossible d'échapper, même en zappant compulsivement.
      Encore une fois, nous n'en sommes plus là. Les faits parlent.
      Que tous ces soi-disant "acteurs" cessent de palabrer, et qu'ils mettent les mains dans le cambouis. En commençant par le début.
      C'est quand un jeune trou du cul commence à refuser de serrer la main d'une femme et à cracher par terre en passant devant une église qu'il adopte la cause qui en fera un éventuel djihadiste "de quartier". Or, nous n’arrivons même pas à faire respecter une minute de silence à des mômes de 3ème tellement dé-occidentalisés qu'ils font de Mohamed Merah un héros de l'islam. Pire. Nous n'osons même pas évoquer officiellement les manifestations de joie qui ponctuent chaque attentat islamiste dans nos propres citées, et dont j'ai été moi-même le témoin.
      Alors il est peut-être démago et primaire d'exiger de nos politiques de faire du nettoyage, à commencer dans leur conscience, mais le salut ne passera que par là.
      Et surement pas par des Rafale gavés d'obus dans le ciel syrien qui font moins de victimes chez l'ennemi que ce crétin islamiste n'en a fait chez nous avec un simple camion de location.

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    2. C'est vous qui voyez, Eric.
      .
      L'ennemi, en face, est rusé, et il a déjà prévu votre réaction. D'ailleurs, c'est lui qui l'a téléguidée.
      .
      Je comprends parfaitement votre envie d'en découdre, d'ailleurs, j'ai la même.
      .
      Alors, trêve de blabla, le débat est clos! Délogeons la vermine, comme dit l'autre connard anonyme. Mais sans moi.

      Vous allez perdre, pour deux raisons:

      - d'abord vous faites exactement ce que l'ennemi attend de vous, sans susciter aucune surprise (pour vous le dire brutalement, vous êtes un de ces systèmes nerveux qui veut se déchargent par colère contre untel et untel pour satisfaire un très banal besoin physiologique de soulagement de l'angoisse que n'importe qui d'un peu malin peut prévoir, donc utiliser à son profit, mais pas au vôtre)

      - ensuite, ce à quoi vous adhérez vous fera condamner par vos paires, une fois que tout sera terminé et que, pour le coup, on fera tomber les têtes. Vous vous proposez de faire des grosses conneries. Vous croyez sincèrement que le reste de la société va vous suivre dans votre violence personnelle? Ah ouais. Bon, ok.

      Tel le taureau dans la corrida vous foncez tête baissée dans la muleta et vous vous ferez avoir par le toréador, mais en plus, à la fin, quand vous solliciterez le pardon de la société pour toutes les dégueulasseries que vous vous apprêtez à commettre, d'un esprit léger et empli de la certitude de faire le bien, elle vous répondra merde et vous mettra de côté, comme une ordure, ce que vous serez devenu et ce sera donc mérité.

      C'est ça qui vous attend: être un perdant dans la guerre, et une merde dans la politique.

      Mais je respecte votre volonté comme je respecte celle du taureau. Vous avez envie de faire une grosse connerie, cela se sent, alors faites-la. Tirez-en plaisir, car c'est tout ce que vous aurez.

      Et surtout, ne venez pas, dans 10 ans, 20 ans ou plus, nous assommer avec vos jérémiades de victimes devenue bourreau car ce com sera la marque que quelqu'un, le lundi 1er août 2016, aura tenté, mais en vain, de vous mettre en garde, alors que vous aurez passé outre.

      Puisque vous avez une mentalité de bourrin, alors agissez comme tel. C'est votre karma, c'est comme ça. C'est votre rôle dans cette vie.

      Vous avez une arme à portée de la main? Eh bien, soyez un homme maintenant, un vrai, un dur, et agissez.

      Vous avez un blog qui émarge dans la réacosphère et il se trouve que je les lis. Vous êtes tous des forts en gueule. A vous écouter, tous nos problèmes seraient régler si on vous laissait faire.

      Vous voulez flinguer de l'Arabe? Allez-y. Le RAID sera là pour vous aussi. Et s'il vous loupe les musulmans auront votre peau, parce que, eux aussi ont de la mémoire et de la haine.

      Allez les forts en gueule, arrêtez de vous payez de mots. Agissez. Arrêtez de vous comporter comme des lopettes à toujours promettre et rien faire.

      Vos colères de gamins prépubères qui se rêvent en héros et qui restent là, les bras ballants, stupéfiés par la violence d'un adversaire qui les submerge sans qu'ils y peuvent mais, ça commence à me courir sur le haricot.

      Faites ce que vous avez à faire.

      Mais ne soyez pas étonné par ce qui se passera à la fin: vous serez punis, et durement. On ne donne pas de la confiture aux cochons, les épluchures de patates suffisent largement.

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    3. "On aurait passé une bonne soirée, sans l'autre lourdingue et ses leçons de philosophie à la mords moi le nœud".
      Ou encore : "C'était qui ce con né avant son père qui nous a chié le repas avec ses théories visionnaires sur la co-existence des peuples et ses prédications apocalyptiques pour débile léger"...
      Voilà, de manière édulcorée, ce que doivent se dire sur la route du retour les infortunés convives qui ont la mauvaise idée de partager vos soirées.
      Il est vrai qu'a vous lire, si on a pas le recul nécessaire pour ne pas s'engluer dans votre verbiage pathétique, vous feriez presque illusion.
      Plus que jamais vous me confortez dans mon désir de ne jamais modérer les commentaires de ce blog, tant il est indispensable, à mon sens, de laisser la stupidité intellectuelle s'étaler en public, ne serait-ce que pour faire hurler de rire ceux qui savent lire.
      En tous cas, j'aurais bien déridés les quelques visages de ceux à qui j'ai fait parcourir votre prose mégalo-jubilatoire, ce qui est une autre très bonne raison de vous laisser vous exprimer ici sans retenue.
      Mais je crains que vos futures occupations ne vous en laissent guère le loisir. En effet, un esprit si brillant, doté d'un tel degré de discernement ne tardera pas à passer devant les écrans radar des services de M. Cazeneuve en mal passager de guides prophétiques qui leur prêteraient main forte dans l'anticipation des carnages à venir.
      Puisque visiblement vous êtes "celui qui sait", vous n'échapperez pas aux futurs recrutements du ministère de l'intérieur, et je vous prédis (pour le coup, c'est moi) un poste important au sein de la palanquée de crétins déjà en place.
      Si les lopettes comme moi finissent un jour au bout de la pique des musulmans haineux, croyez bien que les prophètes de salons parisiens de votre espèce auront depuis longtemps été retrouvés dans un terrain vague avec les roubignoles dans le gosier. A moins qu'en bon prévisionniste que vous prétendez être, vous ne vous soyez enfuis à toute jambes de tout ce tumulte décidément un peu trop terrorisant.
      Bref, si comme vous le pensez, votre com prémonitoire tout droit sorti de vos oracles du lundi 1er août 2016, ne me destinait pas aux horreurs que vous me pronostiquez, il vous sera toujours utile pour soulager vos pulsions masturbatoires de petit théoricien condescendant.
      Au moins n'aurez-vous pas tout perdu.
      En attendant, si vous avez décidé de vous servir de ces pages comme d'une poire à lavement, ma foi, pompez, pompez. La chasse d'eau fonctionne ici.
      Au plaisir de vous ri.. de vous lire.

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  4. Trêve de blabla ! Le débat est clos. On déloge la vermine, toutes tendances confondues, là où elle se trouve (prisons comprises). Pour la suite, la méthode Pinochet me paraît toute indiquée. Le territoire, assaini, le peuple pourra de nouveau vivre fièrement en ayant écrit une page d'Histoire.
    Ou alors, on continue de disserter sur ce qu'on s'autorise à penser mais surtout pas à faire. Et alors levant nos yeux, nous verrons nos enfants disparaître. Victimes ou Bourreaux.

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    1. Assez d'accord. Marre des dissertations stériles et des formules pour bisounours. Les résignations officielles de ministres inconséquents, les pitoyables pleurnicheries d'un président anesthésié, les "je suis machin", les marches blanches, les bougies, les fleurs, toutes ces conneries ont assez duré.
      Comme vous dites, c'est victimes ou bourreaux. Faudra choisir.

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