mardi 10 janvier 2017

Salut les barbares...

     


De toute évidence, il a été décrété que rien ne leur sera épargné. Avoir subit de plein fouet l'horreur du terrorisme ne suffisait donc pas au cauchemar qu'est devenue leur vie (voire leur survie) pour qu'on leur impose, un 7 janvier, les fanfaronneries médiatiques de celui qui aura participé à l'embrigadement des monstres qui ont dévasté leur existence.
Les parents des victimes de Charlie et de l'Hypercacher avaient-ils besoins de cet énième souillure ? L'angélisme crasse qui, encore aujourd'hui, passe sous silence le nom de l'ennemi, n'était-il pas assez intolérable pour qu'on en remette couche ?
La réponse de Thierry Ardisson à ces deux questions leur est fournie sous la forme de ce connard à casquette planté au milieu de son plateau. 
Ils apprécieront...