vendredi 27 mai 2016

A vendre Etat de droit en ruine...


Bah, des juges qui remettent en liberté des délinquants, ça choque encore quelqu'un ?
Franchement, faut pas pousser. Et puis depuis quand la destruction d'un véhicule de police et le lynchage de ses occupants sont-ils devenu des délits ?!
Même les grand-mères de flics appellent ça la routine.
Non vraiment la, pas de quoi se retourner la prostate.
Dors en paix français de France. Tout est "sous contrôle", qu'on te dit là haut...
Des émeutes, des blocages, des grèves, des pénuries?!.. "Palabras !", répond l'iberico de Matignon. "Solo dos o tres petardos, y nada mas..."
Et puis c'est pas 4 petits merdeux turbulents et 2 poulets imprudents qui vont nous faire trébucher les bestiaux de concours, à tout juste 12 mois des premières saillies électorales, non ?!
Surtout maintenant que "ça va mieux"...

Alors hop !
Envoyez les limiers, faites donner du cor, libérez les catapultes...

mercredi 18 mai 2016

Le flow du poilu...

Décidément, tout part en couille...
Même cet ineffable con de Jack Lang et son "forfait culture" illimité n'y auront rien fait. C'est dire..
La pauvre Audrey Azoulay, actuelle locataire du ministère des clowns et saltimbanques, y aura pourtant laissé une corde vocale et quelques postillons de taille adulte. Peine perdue.
François "des basses-terres" (dit Paco la saumure), avait déjà tranché du haut de ses sommets élyséens:
La diva du rap a été priée séance-tenante de se carrer la prose dans le prose, et d'aller commémorer sa race ailleurs.
Comme quoi, il ne suffit pas d'avoir les bras longs parfois. La mère Azoulay a beau avoir été parachutées à la culture par la p'tite Julie (étui présidentiel et copine de la sus-nommée), elle n'aura pas pu empêcher le bras séculier de s'abattre sur ce pauvre Black M...

mardi 3 mai 2016

Ce racisme anti blancs qui n'existe pas...

On savait la stupidité des militants gauchistes extensible à l'infini, et leurs idéaux moisis comme une tranche de Roquefort abandonnée au fond d'un frigo.
On savait aussi qu'ils mettaient ces deux caractéristiques au service de leur militantisme et de leurs actions de terrain, avec les résultats que l'on ne connait que trop.
Personne n'a envie de s'étendre sur les saccages qui ont emmargés les "nuits debout" et des quelques millions d'euros publics qu'ils auront coûtés aux contribuables, tant ils s'ajoutent aux autres remontés gastriques dont notre société en déliquescence garnit nos estomacs. Nous nous contenterons de regarder avec désolation et désespoir ces "rassemblements citoyens" censés refaire le monde à la sauce rouge, sur une Place de la République transformée depuis des semaines d'état d'urgence en un foutoir d'idées toutes plus rassies les unes que les autres.
Après tout, puisqu'il est encore des ministres qui y voient la saine expression de la démocratie participative, pourquoi donc faudrait-il que ces troupeaux de trous du cul mettent un terme aux débats, colloques et autres ateliers dédiés à leurs aliénations collectives ?