mercredi 26 octobre 2016

Le grec et le lardu...


  

Que reste-t-il à sauver chez cet incommensurable imbécile ?
On se fatigue de se le demander. 
Tout au plus relèverons-nous que ses éructations ont au moins le mérite d'illustrer par le verbe les inquiétantes altérations comportementales qui délabrent cette équipe gouvernementale. 
Mais quand on a un tant soit peu de fibre patriotique, comment ne pas pleurer ?

Car ça n'est pas comme si Cambadelis (tripotte) évoluait en "off". 
Non, le mec parle dans les micros. 
C'est même son boulot de 1er secrétaire d'un parti qui, au delà d'être en état de putréfaction avancé, n'en reste pas moins celui du pouvoir en place.
Pire, la Socialie européenne en a même fait son vice-président ! Histoire de donner à ce con la dimension internationale qui lui manquait. Vous me direz, quitte à railler nos déconvenues, autant que nos voisins européens soient en connexion directe avec les clowns eux-mêmes.
Après tout, que risquerait-t-il à en rajouter aujourd'hui ? Ce pays est devenu en quatre ans et demi le pire exemple à suivre en terme de sécurité intérieure. Et ce constat s’étaye de chiffres qui font tellement froid dans le dos, que le reste du monde n'a même plus le cœur aux persiflages et aux quolibets que notre suffisance légendaire et nos sempiternelles leçons de démocratie devraient pourtant nous valoir.

mardi 18 octobre 2016

La gangrène. De Paul Fortune.

Viry Châtillon et ses sauvageons, vu par L'ami Paul Fortune
Le constat est sans concession, brut, court.. et terrifiant.
Mais ô combien réaliste.


La gangrène

Viry-Châtillon. Mantes-la-Jolie. Au rythme des faits divers, nous découvrons des flics apeurés à la simple idée de se défendre et qui ne peuvent que tenter de fuir pour sauver leur peau et garantir la tranquillité d’une hiérarchie qui a réussi à leur inculquer une docilité telle qu’ils en sont à deux doigts d’abandonner leur instinct de survie. Mourir pour la république face à des voyous tout juste bons pour la corde, voila ce qu’on leur demande. Sans gloire ni honneur, leur obéissance sert les puissants dont le seul mot d’ordre est « pas de vagues ». Au fronton de la république, ce sont les valeurs de soumission, de capitulation et de tiédeur qui devraient être gravées. Les voilà enfin, ces mystérieuses valeurs républicaines, qui