mardi 3 mai 2016

Ce racisme anti blancs qui n'existe pas...

On savait la stupidité des militants gauchistes extensible à l'infini, et leurs idéaux moisis comme une tranche de Roquefort abandonnée au fond d'un frigo.
On savait aussi qu'ils mettaient ces deux caractéristiques au service de leur militantisme et de leurs actions de terrain, avec les résultats que l'on ne connait que trop.
Personne n'a envie de s'étendre sur les saccages qui ont emmargés les "nuits debout" et des quelques millions d'euros publics qu'ils auront coûtés aux contribuables, tant ils s'ajoutent aux autres remontés gastriques dont notre société en déliquescence garnit nos estomacs. Nous nous contenterons de regarder avec désolation et désespoir ces "rassemblements citoyens" censés refaire le monde à la sauce rouge, sur une Place de la République transformée depuis des semaines d'état d'urgence en un foutoir d'idées toutes plus rassies les unes que les autres.
Après tout, puisqu'il est encore des ministres qui y voient la saine expression de la démocratie participative, pourquoi donc faudrait-il que ces troupeaux de trous du cul mettent un terme aux débats, colloques et autres ateliers dédiés à leurs aliénations collectives ?

Alors la grimace peut continuer, sous l’œil bienveillant d'un pouvoir dont les membres ont tous été nourris au biberon des inepties scandées chaque soir par ces pseudos intellectuels révolutionnaires, et ce ne sont pas les crachats essuyés par Finkelkraut qui feront bouger d'un iota ces gardiens du "clan du bien", loin s'en faut.
Donc libre cours au militantisme exalté de trottoir, ou se "consanguinent" pêle-mêle soutients à la Palestine à la sauce antisémite, communautaristes identitaires pluriculturels, anarchistes soixant'huitards, racialistes, bobocrates à écharpe et tignasses crades, mélenchonistes idolâtreux, anti-capitalistes Obamaphobes, cgtistes El komri/incompatibles, le tout soigneusement bordelisé par une palanquée de casseurs diplomés es-racaille de banlieue aussi décérébrés que violents...
Bref, tous les ingrédients du dialogue citoyen apaisé que nous vante à gorge déployée ce pitre lobotomisé de Cambadelis.
C'est donc presque naturellement que sont venu planter guitoune Place de la République les allumées de l'ultra-féminisme, à l'aise comme des morbacs affamés dans un calcif de 10 jours au milieu de ces hordes de néo-crétins.


Et comme une diarrhée n'arrive jamais seule, ces sauterelles vertes ont été rejointes par d'autres, de couleur plus sombre celles-ci, encore plus métastasées du bocal. Je parle ici des organisatrices du prochain "Camp d'été décolonial", nouvelle joyeuseté conceptuelle censée délivrer des stages de formation à l'antiracisme politiqueà l'occasion d'un rassemblement payant (170 boules par tête de pipe..) prévu du 25 au 28 août prochain du coté de Reims.
Au nombre de deux, ces salafistes de la condition féminine ont un "CV" qui ferait pâlir de jalousie le plus révolutionnaire des abrutis antisystème : Fania Noel, auto-revendiquée afroféministe/anticapitaliste/anticolonialiste/anti-impérialiste/anti-mixité (n'en jetez plus..), et Sihame Assbague, névropathe cyclique de l'antiracisme, proche du PIR (Parti des Indigènes de la République), dont les positions ouvertement communautaristes et anti-blancs sont parfaitement assumées et affichées.
Je conseille vivement au lecteur en sous-dosage d'inepties, d'aller parcourir le site dédié à cette future réunion d'été, et notamment l'onglet "Programme" qui ferait se pisser dessus un quinquagénaire prostatique en déficit urinaire... 

Les animatrices féministes des nuits debout avaient pourtant fait monter le mercure du sexisme et de la ségrégation tout en haut du thermomètre de la connerie en excluant de leurs "travaux" tout visiteur burné et birouté. Enfin presque, puisque les transgenres, eux (ou elles, allez savoir..), y sont les bien venus (es).
Nos deux "lumières" du camp d'été décolonial vont encore plus loin: elle excluent également des débats tout ce qui n'est pas noir.
Bien évidemment, cette subtilité n'est pas mentionnée noir sur blanc (oserais-je..), mais s'impose de-facto dans les conditions d’adhésion:
"Le camp d'été est réservé uniquement aux personnes subissant à titre personnel le racisme d'Etat en contexte français."
Hors, selon Noel et Hassbague, le racisme anti-blanc n'existe pas.
En un mot, que cette sous-race de blanc-becs aillent se faire bénir ailleurs...

Bien sûr, nous pourrions épiloguer des heures entières sur ces dérives ultra-gauchistes, qui, comble du paradoxe, sont les mêmes que celles observées à l’extrême droite. Considérer qu'une spécificité raciale ou identitaire doit constituer un facteur surdéterminant, n'est-ce pas valider les principes même du racisme ?. 
Le préoccupant de ces idéologies déviantes n'est pas à chercher dans la dangerosité de ceux qui les véhiculent. Pas besoin d'avoir fait Oxford pour comprendre que nous avons affaire à une collection de tarés congénitaux tout juste capables d'aplatir un peu plus l’encéphalogramme de quelques esprits restés à l'état embryonnaire.
Plus inquiétant est le silence assourdissant orchestré par nos pouvoirs publics autour de ces phénomènes et de leurs protagonistes.
Voir s'exprimer cette réminiscence de l'apartheid, aussi inversé soit-il, sous les fenêtres de ceux qui sont censés faire appliquer des lois sociétales qu'ils ont eux-même rédigées, est divinement surréaliste et scandaleux. Ou sont donc passés tous ces gardiens du "temple du bien" et du "vivre ensemble" qui aboient comme des roquets à la moindre petite phrase contenant l'once du début d'une allusion tendancieuse ? Derrière quels paravents s'accroupissent les SOS racisme, Ligue des Droits de l'Homme et autres CRAN habitués à vomir l'ignoble négrier ? Ou se terrent les parlementaires de cette gauche bien propre qui autopsient d'ordinaire chaque intervention de l'opposition, et qui bondissent sur leurs pupitres en se bouchant le nez à la première syllabe possiblement équivoque ?
Evaporé tout ce petit monde de la purification des consciences. A commencer par le plus excité d'entre-eux, Manuel Valls, qui visiblement, réserve ses coups de menton et ses claquements de bretelles aux seuls racistes qui pourraient porter atteinte aux français susceptibles de déposer un bulletin socialiste dans les urnes de 2017. Suivez mon regard...

Seuls la LICRA, pour les associations, Bernard Debré (LR) et Najat Vallaud Belkacem (les bras m'en tombent..) pour les politiques, se sont fendus d'une indignation toute légitime.



Une ministre qui condamne, sous les yeux de poisson congelé d'un Bernard Cazeneuve dont le premier des devoirs eut-été d'appliquer les lois en vigueur séance tenante (et donc de virer à coups de botte ce ramassis de fondamentalistes), est un instantané parlant de la caricature qu'est devenue ce pays.
Le saccage en règle auquel nous avons assisté ce 1er mai dans tous les coins de l'hexagone nous en fournit la pitoyable démonstration, pour le cas ou il serait encore nécessaire de nous en convaincre.

Cette dérive raciste de l'ultra-gauche n'était pourtant pas un coup d'essai. Ce gouvernement de défroqués n'avait déjà rien trouvé de mieux que de fermer les yeux sur l'organisation des "Paroles non-blanches" en avril dernier à Paris 8. Najat Vallaud Belkacem pourra bien condamner pendant des jours la tenue de cet acte de blanco-bashing, elle ne fera pas oublier que c'est dans un établissement public que s'est ouvertement dispensée la promotion du racisme, sans que ses services ne lèvent le petit doigt pour y mettre le moindre veto.



Pas plus que les autorités n'ont frémi d'un cil pour restaurer l'honneur de leurs forces de l'ordre, souillés le mois dernier par une équipe de CGTistes finis à l'albumine et aux calculs rénaux. Tout au plus à t-on été "choqué" au ministère de l'Intérieur...

Ces "Nuits d’Égout", comme les renomme Ivan Rioufol du Figaro, montrent l'expression massive de ce laxisme politique qui nous prépare à l'émergence de ghettos identitaires aux relents nauséabonds, et à des générations entières gangrenées par les communautarismes les plus radicaux...


Sera alors venu le temps ou il ne fera pas bon être né homme, hétérosexuel et blanc. Et ceux qui, de surcroît commettront l'ignominie de gagner honnêtement leur vie, de s'abonner à Valeurs Actuelles et de connaitre les paroles de La Marseillaise sur le bout des doigts, alors ceux-la pourront raser les murs...

Eric.


   



6 commentaires :

  1. Superbe article, bien informatif, la catastrophe semble désormais à peu près consommée. Commençons tout de suite à raser les murs, c'est plus prudent...
    Amitiés.

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    1. Merci.
      En effet, la dérive est en bonne voie. D'ici que tous ces cons nous ressortent les tondeuses de 45...
      Salutations.

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  2. c'est superbe, un article fracassant sur la vie qui est notre devenir , des cons malfaisants nous gouvernent et ils sont menés par des très très cons très très malfaisants...
    Nouratin attends moi pour raser les murs, a deux on aura plus de chance !
    amicalement

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    1. Merci également. En effet, rasons les murs tant qu'ils sont encore debouts. A ce rythme là, tous ces connards vont finir par s'y attaquer aussi pour nous en jeter les morceaux sur la gueule...

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    2. Merci Eric pour votre style vif et tranchant. Et également très drôle. J'ai bien peur hélas que les mots, mêmes les meilleurs, ne suffisent pas à faire battre en retraite les trop nombreux bâtards qui sévissent partout sur le territoire.
      Le coup de poing sera inévitable. Bref... vos humeurs sont trop rares.
      Amitiés

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  3. J'ai bien peur aussi que tout ceci finisse dans le sang. Allez faire comprendre à des pitres nourris au sein de ces inepties gauchisantes à deux balles, qu'ils partent en couille... L'impact se précise. Chaque jour un peu plus...
    Merci de vos encouragements. Je me bats avec mon emploi du temps pour être plus assidu. Pas facile...
    Amitiés.

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