lundi 4 avril 2016

Fashion burkini...

La "mode pudique"...
Que ne sont-ils pas capables d'inventer quand il s'agit de rendre respectable ce qui ne l'est pas, pourrait-on penser quand on voit ces nanas déguisées en pingouins bleus.


Il est clair que les quelques 300 milliards d'euros que génère le commerce mondial de "l'islam attitude", ne pouvaient pas laisser la gourmandise des géants du prêt à porter sans réaction. Ils ont donc fait ce qu'ils ont toujours fait: exploiter un marché porteur.
Il leur fallait une accroche marketing passe-partout. Ils l'ont trouvée...
La "mode pudique" fait donc partie des catalogues des H&M, Dolce & Gabbana et autres Marks & Spencer.
Qu'on se le dise.
Et pour les considérations d'ordre éthique, culturel ou moral, vous serez priés d'adresser vos doléances chez Plumeau, ou de vous les coller dans l'oignon... Le bizness, c'est l'bizness, alors faites pas chier.

Qui pourrait le leur reprocher ?!
Et bien un ministre, figurez-vous...
En effet, le sang de Laurence Rossignol, ministre des droits des femmes, n'a fait qu'un tour sans toucher les bords.
Et que "irresponsables", que "enfermement des corps", que "soumission", etc... bref, tout le bordel et son train, balancé chez Bourdin à une heure ou la ménagère musulmane de plus de 16 ans, assistée de ses trois co-épouses, finit de beurrer les tartines de son barbu de mari, et enfile le niqab pour emmener les petits à l'école coranique du quartier.
Tu vas pas m'dire quand même ?...
Quel manque de civisme...

Personnellement, je serais toujours subjugué par cette incroyable faculté qu'ont nos politiques à s'étonner des désastres générés par leurs propres désastres...
Voila une ministre de gauche pur-jus farcie jusqu'aux dents à l'angélisme socialiste, qui a participé et consenti à l'abandon de ce pays aux communautaristes les plus radicaux pendant des années, qui aura contribué à laissé des pans entiers de nos cités devenir des faubourgs de Kaboul, et qui vient aujourd'hui s'égosiller d'indignation devant quelques industriels opportunistes  réclamant les boulettes d'un couscous dont elle a elle-même égrainé la semoule.

Quel type de mouche à donc piqué nos ministres ?
Après Patrick Kanner, autre traitre à la sacro-sainte idéologie, qui a commis l'ignominie de prétendre qu'il y aurait une bonne centaine de Molenbeek dans la France immaculée de Manuel Valls, voilà qu'une ministre à qui on ne demandait rien d'autre que de roupiller dans son coin, sort de sa léthargie pour islamophober dans les micros...
C'est quoi ce bordel ? 
Sacrilège, blasphème, profanation, hurlent les gardiens du dogme à Solférino !.. 
Voilà qui devrait laisser de vilaines traces dans les caleçons du coté de Matignon.
Pire ! L'icône parmi les icônes, la doyenne de cette gauche qui n'a cessé de brader ce pays aux missionnaires du grand Califat, y va elle aussi de sa fulmination. Elisabeth Badinter fustige dans la presse ces salopards de fripiers qui inciteraient les musulmanes françaises à l'emprisonnement idéologique, et qui creuseraient le terreau de l'obscurantisme.
Fichtre ! Ça dépote...
Vous l'aurez compris, si demain un plaisantin organisait un concours d’hypocrisie, en voilà quelques uns qui seraient dispensés des séances de qualif pour aller direct en phase finale.    
Car on pourrait rappeler à ces paltoquets à dorures qu'il eut suffit d'aller faire un tour dans la vraie vie ne serait-ce qu'une seule fois pour que ces réalités sociales leur atterrissent sur le coin de la gueule. Mais à quoi bon.
La véritable connexion de nos politiques avec la population ne fait partie que de l’enfumage de campagne, et n'existe que dans les promesses électorales. Dans le concret, tout reste à l'état de mots empilés les uns sur les autres qui n'ont plus aucune chance d'entamer notre incrédulité.
   
Si Mme Rossignol était venue trainer ses tongs Chanel et sa serviette Hermes rien qu'une fois sur les plages populaires de nos bases de loisir, elle aurait pu faire un inventaire complet de tous les modèles de burkinis déjà sur le marché depuis des lustres, et se serait épargné ce caca nerveux théâtral devant ces mannequins déguisés en otaries. 
De même que si M.Kanner était venu une seule fois faire ses courses dans les souks de Sevran au milieu des burqas, des djellabas et des appels à la prière, peut-être n'aurait-il pas attendu les révélations de l'enquête de Mollenbeek pour jeter en place public le constat alarmiste de cette l'islamisation qu'il ne faut pas nommer, mais que n'importe quel pékin ordinaire voit se développer depuis des décennies.
Quant à Mme Badinter, il eut été opportun qu'elle déploie la même combativité féministe il y a 30 ans, lorsque sa famille politique commençait à propager les particules toxiques de son modèle de société idéaliste, funeste mélange de paradis multiculturel et d'anarchie bon-enfant, et qui nous a conduit à ce foutoir incontrôlable ouvert aux quatre vents qui nous pète à la gueule aujourd'hui. 
A la décharge de ces irresponsables estampillés PS, il serait juste d'associer à ce fiasco retentissant toute la clique de leurs opposants directs, élus mandat après mandat sur les ruines d'un État de droit en déliquescence, et qui se sont empressé de remiser les Karchers au fond du garage pour ne jamais les en ressortir.
Néanmoins il est une constante chez les socialistes que l'on retrouve moins chez leurs adversaires, et pour laquelle ils pourraient revendiquer une sorte de monopole : L'implication sélective.
Ou l'art de détourner les regards d'un coupable embarrassant en en désignant un autre qui l'est moins.
Les femmes ne disparaissent pas sous des bâches à trous à causes du salafisme qu'on a laissé prospérer en toute impunité. Non, elles se recouvrent de tissus à cause d'irresponsables vendeurs de fringues qui les incitent à le faire.
Ces connards de kamikazes ne se radicalisent pas parce qu'ils se font rincer les neurones dans les incubateurs à djihadistes de nos banlieues abandonnées aux imams faisandés. Non, ils se radicalisent parce qu'ils sont victimes de stigmatisation, de perte de repères, et du passé colonialiste d'un pays qui n'a pas su les intégrer.

Une manipulation intellectuelle aux ficelles tellement grosses qu'on pourrait s'y pendre à plusieurs.
La palme revenant à cette navrante campagne vidéo à 3 millions d'euros imaginée par notre impétueux catalan de 1er ministre, et qui, alors que le pays compte ses morts tombés par dizaines au nom d'Allah, nous explique que le français moyen n'est qu'un atrophié du bocal à l'état primaire, raciste, antisémite et islamophobe, et qu'il y a une urgente nécessité à lui ré-épaissir le bouillon de cube qui lui fait office de cerveau.
Le musulman harcelé, le maghrébin stigmatisé, le juif agressé, tout ça est exclusivement l’œuvre du vilain "blanc-bec", l'ignoble "de souche". Et quand il n'est pas directement désigné comme étant le bourreau, on lui rappelle qu'il est plus ou moins à l'origine de la radicalisation de celui qui en devient un.
Le "christiano-blanco" ne subit pas les affres de la ségrégation, et encore moins les stigmates de la différence.
Pour lui, pas de racisme, pas de xénophobie, pas de rejet qu'il ne soit contraint d’endurer. Pour lui, pas de mauvais comportements qui commencent par des mots, continuent par des gestes et finissent par du sang.
Car selon Don Manuel el Primero et ses aficionados, le racisme anti-blanc ou anti-chrétien n'existe que dans les fantasmes des esprits simples, des altérés de l'encéphale et des fachos du FN. 
Si par hasard il en apparaissait quelques cas, ils ne dépasseraient pas le seuil de l'anecdotique, et de toute façon, toucheraient une population de privilégiés sur laquelle la portée traumatique serait ridiculement dérisoire.
Alors selon les principes connus du "pas de bras, pas de chocolat", pas de racisme, pas de vidéo...

Et n'allez surtout pas lui dire que 75% des détenus français sont d'origine maghrébine ou que le 100% des attentats qui nous déciment sont l’œuvre d'individus se revendiquant de l'islam, malheureux ! Vous finiriez avec vos burnes dans l'huile d'olive au milieu des tapas, entre le chorizo et les calamars à la catalane.


Alors quand Décathlon aura décidé lui aussi d'ouvrir ses linéaires à la "mode pudique" et de fourguer à son tour du burkini à tarif modéré, ne venez pas vous plaindre que vos piscines et vos plages se sont transformées en gigantesques zones de reproduction pour otaries du Cap.
On vous affirmerait que vous déraisonnez, que rien de tout cela n'est la réalité, et que si vous en rajoutez, vous allez vous retrouver avec un procès au cul qui va vous passer l'envie de xénophober.
En conclusion, les Rossignol, Badinter et tous les autres soi-disant gardiens de la condition féminine pourront s'étrangler tant qu'ils voudront, ils n'enrayeront en rien la progression d'un phénomène qu'ils ont eux-mêmes contribué à faire naitre et qu'ils entretiennent sans compter.
Ils ne récolteront rien d'autre que les râteaux de ceux qu'ils accusent, les  quolibets de ceux qui dénoncent depuis des années ces coraneries vestimentaires à la con, et un sérieux recadrage officiel sous forme de coups de pompes dans le derche...

Comme on fait son lit... eh ben c'est com' ça qu'ti vas t'coucher, spice di counasse...

Eric.

       



        

  

 

 

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