Plutôt
que de faire un commentaire "à chaud" sur le carnage d'hier, je préfère
laisser murir en moi cette colère sourde qui nous anime tous, pour
essayer d'en faire sortir quelque chose qui ne tombe pas dans l'insulte
basique qui ne ferait que soulager ma révolte primaire.
En effet, je pourrais affirmer que ces barbares musulmans ne sont rien d'autre que le croisement hasardeux de chiennes bâtardes et de porcs syphilitiques...
Je pourrais aussi dire que les milliers de fils de pute barbus franco-belges qui les ont caché pendant des mois, peuvent faire don de leurs organes à de grands groupes pétrochimique spécialisés dans le méthane naturel, sans se les voir refuser par une quelconque norme hygiénique à la con...
Je pourrais dire tout ça.
Je l'ai dit ?..
Merde...
Mais je préfère les mots d'Ivan Rioufol du Figaro, que le monde des médias bien-pensants conchie à longueur de temps pour ses prises de position sans concessions, mais à qui les évènements successifs de ces deux dernières années donnent tristement raison...
Encore une fois, tout est dit:
Molenbeek est aussi une maladie française.
Par Ivan Rioufol le 21 mars 2016 12h30
"A ceux qui osent encore parler d’un "prétendu communautarisme" et qui disculpent l’islam de toute filiation avec le terrorisme commis au nom d’Allah, un tour à Molenbeek (Belgique) ne ferait pas de mal. C’est dans ce quartier "multiculturel" de Bruxelles qu’a été arrêté, vendredi, le français Salah Abdeslam, un des djihadistes qui ont semé la mort à Paris le 13 novembre 2015. Recherché par toutes les polices depuis 4 mois, il vivait à 700 mètres du domicile de ses parents. Des témoignages, relatés par des médias, font comprendre que sa présence dans cette enclave musulmane était connue de beaucoup d’habitants. Il est en tout cas évident qu’une omerta a protégé la fuite et la planque du tueur, qui a bénéficié sur place d’un réseau de solidarité. Lors de son arrestation, des jeunes ont tenté d’affronter les forces de l’ordre. Ceux qui ne veulent toujours pas voir la relation entre le repliement identitaire de la partie non intégrée de la communauté musulmane et le développement de l’hostilité à l’égard du modèle démocratique occidental sont les meilleurs collaborateurs de l’islam radical. A Molenbeek, cette idéologie totalitaire est comme un poisson dans l’eau. Comme le rappelle L’Opinion, ce lundi, impressionnante est la liste des terroristes passés par là depuis l’assassinat du commandant Massoud en Afghanistan en 2001, en passant par les attentats de Madrid (2004), la tuerie du musée juif de Bruxelles (2014), l’attaque avortée du Thalys et les attentats de Paris. Mais il serait faux de croire cette situation spécifique à la Belgique.
"Des Molenbeek, il y en a partout en France", admet Patrice Ribeiro, secrétaire général de Synergie officiers (police), ce lundi dans Le Figaro. Il cite notamment Trappes, Roubaix, Le Mirail (Toulouse). Mais il faudrait y ajouter Sevran, Lunel et bien d’autres communes islamisées dans l’indifférence des élus locaux et des pouvoirs publics. Dans mon livre : "La guerre civile qui vient", je cite ce maire d’une banlieue, qui veut garder l’anonymat, qui recherchait en octobre 2015 un spécialiste de la guérilla urbaine et qui se prépare à des affrontements de rues. "Tous les ingrédients d’une possible guerre civile sont là", explique-t-il. Sa lucidité n’est cependant pas la chose la mieux partagée. Le plus souvent, les maires des cités majoritairement musulmanes sont des personnages dociles, prêts à acheter la paix sociale en multipliant les concessions aux islamistes. C’est cette politique de soumission qui est aujourd’hui reprochée par les autorités belges à l’ancien bourgmestre de Molenbeek, le socialiste Philippe Moureaux. Par électoralisme et flatteries communautaristes, il est tenu pour responsable de la sécession de ce quartier (18 mosquées), en dépit du droit de vote acquis aux étrangers pour les élections locales depuis 2004. C’est Moureaux qui, par exemple, s’indignait qu’un lien puisse être fait entre le terrorisme et l’islam après les attentats de Charlie Hebdo. Mais des Moureaux, la politique française en est pleine…"
Sinon, il reste la solution proposée par les bisounours belges, qui n'ont visiblement aucunes leçons à recevoir des nôtres:
Eric.
En effet, je pourrais affirmer que ces barbares musulmans ne sont rien d'autre que le croisement hasardeux de chiennes bâtardes et de porcs syphilitiques...
Je pourrais aussi dire que les milliers de fils de pute barbus franco-belges qui les ont caché pendant des mois, peuvent faire don de leurs organes à de grands groupes pétrochimique spécialisés dans le méthane naturel, sans se les voir refuser par une quelconque norme hygiénique à la con...
Je pourrais dire tout ça.
Je l'ai dit ?..
Merde...
Mais je préfère les mots d'Ivan Rioufol du Figaro, que le monde des médias bien-pensants conchie à longueur de temps pour ses prises de position sans concessions, mais à qui les évènements successifs de ces deux dernières années donnent tristement raison...
Encore une fois, tout est dit:
Molenbeek est aussi une maladie française.
Par Ivan Rioufol le 21 mars 2016 12h30
"A ceux qui osent encore parler d’un "prétendu communautarisme" et qui disculpent l’islam de toute filiation avec le terrorisme commis au nom d’Allah, un tour à Molenbeek (Belgique) ne ferait pas de mal. C’est dans ce quartier "multiculturel" de Bruxelles qu’a été arrêté, vendredi, le français Salah Abdeslam, un des djihadistes qui ont semé la mort à Paris le 13 novembre 2015. Recherché par toutes les polices depuis 4 mois, il vivait à 700 mètres du domicile de ses parents. Des témoignages, relatés par des médias, font comprendre que sa présence dans cette enclave musulmane était connue de beaucoup d’habitants. Il est en tout cas évident qu’une omerta a protégé la fuite et la planque du tueur, qui a bénéficié sur place d’un réseau de solidarité. Lors de son arrestation, des jeunes ont tenté d’affronter les forces de l’ordre. Ceux qui ne veulent toujours pas voir la relation entre le repliement identitaire de la partie non intégrée de la communauté musulmane et le développement de l’hostilité à l’égard du modèle démocratique occidental sont les meilleurs collaborateurs de l’islam radical. A Molenbeek, cette idéologie totalitaire est comme un poisson dans l’eau. Comme le rappelle L’Opinion, ce lundi, impressionnante est la liste des terroristes passés par là depuis l’assassinat du commandant Massoud en Afghanistan en 2001, en passant par les attentats de Madrid (2004), la tuerie du musée juif de Bruxelles (2014), l’attaque avortée du Thalys et les attentats de Paris. Mais il serait faux de croire cette situation spécifique à la Belgique.
"Des Molenbeek, il y en a partout en France", admet Patrice Ribeiro, secrétaire général de Synergie officiers (police), ce lundi dans Le Figaro. Il cite notamment Trappes, Roubaix, Le Mirail (Toulouse). Mais il faudrait y ajouter Sevran, Lunel et bien d’autres communes islamisées dans l’indifférence des élus locaux et des pouvoirs publics. Dans mon livre : "La guerre civile qui vient", je cite ce maire d’une banlieue, qui veut garder l’anonymat, qui recherchait en octobre 2015 un spécialiste de la guérilla urbaine et qui se prépare à des affrontements de rues. "Tous les ingrédients d’une possible guerre civile sont là", explique-t-il. Sa lucidité n’est cependant pas la chose la mieux partagée. Le plus souvent, les maires des cités majoritairement musulmanes sont des personnages dociles, prêts à acheter la paix sociale en multipliant les concessions aux islamistes. C’est cette politique de soumission qui est aujourd’hui reprochée par les autorités belges à l’ancien bourgmestre de Molenbeek, le socialiste Philippe Moureaux. Par électoralisme et flatteries communautaristes, il est tenu pour responsable de la sécession de ce quartier (18 mosquées), en dépit du droit de vote acquis aux étrangers pour les élections locales depuis 2004. C’est Moureaux qui, par exemple, s’indignait qu’un lien puisse être fait entre le terrorisme et l’islam après les attentats de Charlie Hebdo. Mais des Moureaux, la politique française en est pleine…"
Sinon, il reste la solution proposée par les bisounours belges, qui n'ont visiblement aucunes leçons à recevoir des nôtres:
Eric.
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