Personnellement, je suis pas inquiet pour lui…
Deux types de fans :
Les puristes inconditionnels qui ne le regardent que du
nombril aux crampons, et puis tout ce que nos cités comptent de petites racailles
décérébrées qui le vénèrent.
Donc pas de panique, et surtout, pas de quoi crever tout
seul dans son coin.
Pour les seconds, on peut comprendre aussi : même
arrogance, même irrespect, même langage, mêmes repères, même QI de poule…
Comme Karim Benzema n’est pas en capacité d’intégrer autre
chose que ces deux formats dans son univers, on comprend pourquoi il se fout royalement de tout ce qui n’en fait
pas partie.
Donc le voilà débarqué des Bleus…
Il était plus que temps.
Tout le monde se plaignait qu’il ne chantait pas la
Marseillaise.
J’ai presque envie de dire : heureusement ! Vous
avez déjà entendu parler Karim Benzema ?!
De toute façon, notre hymne comprenant plus de mots qu’il n’en a disposition dans son vocabulaire usuel, je vois pas bien comment on aurait pu y trouver quelque chose de cohérent.
Bref…
Avec un peu de chance, il devrait nous être épargné pour un petit bout de temps, le piteux spectacle de ses regards fuyants, de son mépris affiché, et de ses crachats "équivoques" pendant les avant-matchs de l’équipe de France.
Et par la même,
celui de sa démotivation sur le terrain,
de sa passivité et de son indifférence pour ce maillot bleu qu’il conchie au
moins autant que le drapeau tricolore.
Et pourtant, le supporter français est plutôt bonne pâte.
Des résultats "honorables" et un peu de motivation auraient sans
doute suffis à pardonner les travers affligeants du guignol.
Après tout, un
public qui a réussi à passer l’éponge
sur les cacas nerveux de "lumières" comme Ben arfa, Nasri ou
Anelka, aurait fini par se dire qu’à défaut d’être un prix Nobel de littérature,
Benzema fait correctement ce qu’on lui demande, c’est-à-dire efficacité, et résultats.
Mais avec 1 buts tous les 3 matchs, il manque des boulettes
dans le couscous...
Alors puisque visiblement il porte plus d’intérêts à ses potes de Bron Terraillon et à leurs réseaux mafieux, qu’au prestige d’enfiler le maillot national, qu’il reste au milieu des racailles lyonnaises qu’il n’aurait jamais dû quitter.
Si son ambition et sa réussite n’ont pour seule vocation que de financer les frais de justices de ses frères et beaux-frères multirécidivistes, et de raquer les avocats de ses potes trafiquants daubés jusqu’à l’os, alors pas de regrets, Karim Benzema est à sa place.
Celle d’une racaille…
Comme quoi des fois, tomber tout petit dans le chaudron de
potion magique, et ben.. ça rend pas moins con…
Bon débarras...
Eric
Aucun commentaire :
Enregistrer un commentaire