dimanche 19 février 2017

Ah elle est jaunie la jeulesse ! (Coluche.)...


                         
                                MONTPELLIER: Affrontements entre 200 jeunes. Un blessé.


Si au moins ça infléchissait la courbe ascendante de la stupidité de ceux qui veulent nous faire croire que les casseurs urbains sont motivés par des causes "nobles", du genre Théo, harcèlement policier, racisme, désœuvrement, ghettoïsation et autres excuses à la con...
N'y comptons pas trop.

La récente tribune de Libération signée par nos éminentes célébrités showbiziennes, suffit à s'en résigner.
Amusant d'ailleurs d'observer ce ramassis d'imbéciles à paillettes s'auto-farcir le trou de balle de leur bonne conscience, en s'apitoyant sur celui de ce nouveau martyr des cités dont on nous rebat les oreilles. Le fameux "petit Théo", dernière victime en date de ce groupuscule nazi nouvellement désigné: La police nationale.
Normal à la fois. N'allons pas demander à ces bobos "canal historique", d'afficher une quelconque empathie avec la flicaille. Malheureux... Des fois qu'on les suspecterait de ne pas être de gauche.
Même si parmi eux, bon nombre leurs roulaient des pelles à tour de langue au lendemain des attentats, les couvrant de louanges toutes plus vibrantes les unes que les autres, histoire de bien faire "solidaire". De bien faire "peuple"...

Mais pour en revenir à ce qui nous intéresse, que nous disent ces phénomènes urbains qui se répandent à Montpellier et ailleurs ?  
Que ces petites merdes de casseurs ne sont animées que par une seule chose: l'irrespect de l'autre.


Massacrer, anéantir, écraser... Ne serait-ce que pour rigoler. 

Parce qu'on a rien d'autre à foutre pendant les vacances. Se démonter la gueule juste parce que c'est une occasion de se regrouper. Terrible constat qu'ils font eux-même !
Le rectum "réalésé" de ce pauvre Théo, tu penses bien que ces mômes décérébrés ils s'en contrebranlent comme de leur première Nintendo. Pour eux, casser, frapper, brûler est devenu un moyen d'expression, une langue, un code. Bref, un truc normal. 

Faire mal sans raison, utiliser la violence la plus extrême sans justification, voire carrément tuer sans autre mobile que le défoulement, n'a plus rien de grave...

Résultat de 40 ans de lobotomie scolaire, éducative, judiciaire, bref, sociétale. Quatre décennies de renoncement et d'abdication ou les inepties post-soixante-huitardes et les inaptitudes de nos politiciens auront fini de tisser le linceul d'une société meilleure. 


Bon courage aux jeunes, les vrais, qui refuseront d'être assimilés à cette génération daubée. Bon courage, car ils seront pile-poil au milieu : entre l'amalgame que la société fera parce qu'ils sont jeunes, et cette jeunesse vérolée qui les haïra jusqu'au lynchage, simplement parce qu'ils comptent se construire un avenir dans "le système"...


Eric.



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