Si vous avez un mur vierge et un peu tristounet chez vous, il existe un bon plan pour y remédier: confiez le à Goin...
"Goin ?! Mais qui c'est ce con ?", entends-je ça et là, déjà, tout de suite.
Goin (prononcer "Go-in" nous dit-on), c'est un pochoiriste militant.
Ca troue le cul ça, non, un pochoiriste militant ?...
Et un pochoiriste militant, ça fait quoi dans la vie ? Eh ben ça pochoirise sur les murs ou c'est permis de pochoiriser mon pote ! Ca t'en bouche une paire de coins ça, non ?!..
Et justement, en ce moment, les pochoiristes sont autorisés à pochoiriser les murs de Grenoble pour un festival d'art urbain (rien qu'le nom m'amuse..) organisé par une municipalité dont le maire écolo, un certain Eric Piolle, n'est pas gêné aux entournures par les insanités provocatrices de l'ultra-gauche, au point d'en laisser les relents fétides s'étaler partout dans sa commune.
Je sais pas vous, mais quelque chose me dit que cet imbécile sans OGM a été conçu sous une tente Trigano plantée au milieu du plateau du Larzac dans les années 70, entre deux bitures à la 1664, et un "4 feuilles" bien tassé à t'envoyer les neurones dans la stratosphère.
Ca expliquerait que M. Piolle, nourri au biberon de conneries collectivistes à la sauce bio (mais pas dégradables), se retrouve aujourd'hui à se pignoler devant les façades de sa ville souillées par quelques tagueurs finis à la pisse. Autant d'abrutis mal achevés mais auto-proclamés "artistes", et qu'il est donc idéologiquement indispensable d'encourager à vomir sur cette République déjà bien saccagée, histoire d'en entériner définitivement le délabrement...
Et peu importe si M. le maire a fait un chèque de 25 000 euros sur le compte du contribuable grenoblois pour autoriser ce pochoiriste militant de mes couilles à venir barbouiller sa croûte immonde sur les devantures. Visiblement, 25 000 euros d'argent public, c'est le tarif pour quelques petites érections mal contenues qui agitent le slip municipal devant ces messages de haine gauchistes qui, comme chacun sait, n'ont d'autre vocation que de foutre le feu dans tous les calebards d’extrême gauche de l'hexagone.
Ca expliquerait que M. Piolle, nourri au biberon de conneries collectivistes à la sauce bio (mais pas dégradables), se retrouve aujourd'hui à se pignoler devant les façades de sa ville souillées par quelques tagueurs finis à la pisse. Autant d'abrutis mal achevés mais auto-proclamés "artistes", et qu'il est donc idéologiquement indispensable d'encourager à vomir sur cette République déjà bien saccagée, histoire d'en entériner définitivement le délabrement...
Et peu importe si M. le maire a fait un chèque de 25 000 euros sur le compte du contribuable grenoblois pour autoriser ce pochoiriste militant de mes couilles à venir barbouiller sa croûte immonde sur les devantures. Visiblement, 25 000 euros d'argent public, c'est le tarif pour quelques petites érections mal contenues qui agitent le slip municipal devant ces messages de haine gauchistes qui, comme chacun sait, n'ont d'autre vocation que de foutre le feu dans tous les calebards d’extrême gauche de l'hexagone.
Ca fait quand même cher la branlette tout ça, non?
Au passage, les quelques dizaines d'associations culturelles qui, depuis l'arrivée de ce monsieur dans le fauteuil de la mairie, ont vu leurs subventions fondre comme un bout de beurre dans sa poêle, apprécieront de voir ou vont les préférences de l'équipe municipale en matière d'argent public.
On notera tout de même que si un maire FN avait la mauvaise idée d'opter pour la même politique de dotation dans sa commune, la vindicte des salons parisien "ou l'on cause" l'empalerait immédiatement sur le pieu du fascisme, et en érigerait la dépouille sous la tour Eiffel..
Mais bon. Ne nous emballons pas. Nous parlons là d'une municipalité estampillée "majorité", pour laquelle le traitement d'un même symptôme n'aura jamais recours à la même prescription médicamenteuse.
Au passage, les quelques dizaines d'associations culturelles qui, depuis l'arrivée de ce monsieur dans le fauteuil de la mairie, ont vu leurs subventions fondre comme un bout de beurre dans sa poêle, apprécieront de voir ou vont les préférences de l'équipe municipale en matière d'argent public.
On notera tout de même que si un maire FN avait la mauvaise idée d'opter pour la même politique de dotation dans sa commune, la vindicte des salons parisien "ou l'on cause" l'empalerait immédiatement sur le pieu du fascisme, et en érigerait la dépouille sous la tour Eiffel..
Mais bon. Ne nous emballons pas. Nous parlons là d'une municipalité estampillée "majorité", pour laquelle le traitement d'un même symptôme n'aura jamais recours à la même prescription médicamenteuse.
Alors bon...
Faudra s'y faire. Tant qu'on aura des élus comme ça, les pochoiristes militants exaltés comme ce "Goin" auront des km2 de murs à disposition pour y répandre leur merde anti-système...
Faudra s'y faire. Tant qu'on aura des élus comme ça, les pochoiristes militants exaltés comme ce "Goin" auront des km2 de murs à disposition pour y répandre leur merde anti-système...
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